Créer de la valeur au plus près de notre quotidien et au cœur de nos territoires, telle a toujours été la promesse du béton. Si la reconstruction d’après-guerre illustre parfaitement cette idée, l’urbanisme d’aujourd’hui également : avec sa ville plus dense et compacte, ses espaces de détente et de sport parfois logés en toiture, ses transports plus interconnectés et doux ouvrant sur l’ensemble du territoire… Le béton y trouve toute sa place, tant il est pluriel.
Polymorphe et polyfonctionnel, le matériau permet aujourd’hui d’aménager un cadre de vie paisible, à un coût raisonnable : écoles, centres culturels et sportifs, logements collectifs, aires de jeux… Et en sous-sol, de construire une grande variété d’infrastructures dédiées à l’eau, à l’énergie, à la logistique…
Il accompagne aussi la refondation de nos infrastructures de transport et des mobilités douces, depuis les grands réseaux métropolitains jusqu’aux pistes cyclables les plus confidentielles.
Pérenne, le béton autorise enfin la réhabilitation-reconversion-surélévation du patrimoine bâti. La capitale regorge d’exemples, au premier rang desquels figure la halle Freyssinet, accueillant aujourd’hui la fameuse Station F. De quoi reconstruire la ville sur la ville, dans une logique patrimoniale et frugale.